29 mai 2010

Compte-rendu Assemblée générale extraordinaire du 27 mai

Assemblée générale du 27 mai

Présents : Evelyne Baudran, Fanette Bertolini, Lily Clerc, Simone Coulpier, François Debuire, Jeanine, Françoise Million, Philippe, Estelle Rondet, Eloi Sevin, Céline Stoll, Françoise Stoll, Florian Stoll (par ordre d’apparition dans l‘alphabet).


François Debuire, le président sortant, rappelle la raison de cette nouvelle AG : il faut remplacer l’ancien bureau et, pour fonctionner, une association a besoin d’un président, d’un secrétaire et d’un trésorier. Il s’agit donc d’un ultimatum pour faire réagir les membres et sauver le Sel. « On a besoin des uns et des autres », dit-il.
Il rappelle aussi que le Sel n’a pas périclité grâce à la ténacité de Florian et que lui-même laisse la présidence car il est possible qu’il déménage, mais il n’abandonne nullement le Sel.

Un nouveau bureau est élu à l’unanimité :
Florian Stoll, président
Françoise Million, secrétaire
Estelle Rondet, secrétaire-adjointe
Evelyne Baudran, trésorière
Fanette Bertolini, trésorière-adjointe
Simone Coulpier, 2ème trésorière-adjointe

Dans l’immédiat, il faut maintenant s’occuper d’adresser un courrier au JO pour signaler le changement de bureau. La secrétaire s’en occupe. Il faut aussi que le nouveau président et la nouvelle trésorière se rendent à la poste pour changer les signatures (2 signatures seulement pour le compte-chèques). François se propose d’aller se renseigner pour connaître les formalités exactes.

Puis, deux membres, nouveaux dans la région, font part de leur expérience dans un autre Sel :
- Evelyne faisait partie du Sel de Mantes-la-Jolie qui comptait 80 adhérents. Ils se réunissaient une fois/mois et faisaient une Blé thématique/trimestre. La connaissance entre les membres favorise les échanges (on ose plus demander), d’où l’intérêt de ces réunions mensuelles entre le bureau et les volontaires pour, entre autres, accueillir les nouveaux membres.

- Philippe appartenait à un « gros » Sel à Paris. (300 membres de toutes les catégories socio-professionnelles, d’où la richesse de l’offre). C’est lui qui comptabilisait les grains de sel. Il met en garde contre les dérives : abus de certaines personnes qui consomment uniquement, utilisation du métier (d’où la visite des RG et la surveillance par d’autres institutions). Il est informaticien et propose de mettre un ordinateur à disposition chez lui (modalités à définir) et d’initier les réfractaires à l’informatique, proposition reprise par Céline qui possède les mêmes compétences. Il évoque aussi la possibilité de rémunérer ceux qui « travaillent » au bureau en pétales - proposition qui reste en suspens.

On est d’accord pour communiquer essentiellement par mails. François n’a pas de connexion Internet chez lui, Lily n’est pas à l’aise sur l’outil. Il ne faut pas hésiter à solliciter les autres.

Lily soulève un point intéressant : comment faire la différence entre ce qui est un service que l’on rend à un ami, un voisin et que l’on ne comptabilise pas, et ce qui relève du Sel. On prend l’exemple de la voiture : si l’on conduit quelqu’un à Nîmes pour prendre le train, c’est le Sel, si l’on va à Nîmes et que l’on propose du covoiturage, ce n’est plus le Sel. Finalement, c’est une question assez personnelle qui ramène toujours au fait qu’il est souvent plus facile de rendre un service que d’en demander un. On rappelle une fois de plus qu’il ne s’agit pas d’échanges bilatéraux.

On en vient ensuite à la domiciliation de l’association. Le centre social de St Quentin ? Philippe est contre car c’est un système alternatif et le Sel risque de se faire récupérer. Céline confirme. Tous les membres du bureau étant de Montaren (sauf Fanette), il paraît judicieux de se domicilier à Montaren. A la mairie ou chez quelqu’un ? On n’a pas encore tranché. A Montaren, il y a le problème du foyer qui est très souvent occupé. Florian doit se renseigner et on doit en rediscuter.

Enfin, si on est tous d’accord sur la nécessité de réunions régulières qui sont des moments de convivialité particulièrement sympathiques, on n’a pas réussi à tomber d’accord sur la fréquence des réunions. Tous les mois ou tous les deux mois ? Françoise préfère tous les mois car si l’on manque une réunion, on ne reste pas quatre mois sans se voir… A rediscuter.

Merci à Fanette de nous avoir accueillis avec beaucoup de chaleur et merci à tous ceux qui étaient présents.
Le Sel’Uzège est en marche. A très bientôt !

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